En étant un motocycliste, j’ai conscience que j’ai 17 fois plus de chance de me faire tuer sur la route qu’un automobiliste. Je dois alors renforcer ma sécurité, avant de me mettre sur la route.
Je m’équipe bien
Ma moto n’a pas de carrosserie. Ce sont mon casque, mes vêtements et mes équipements qui me protègent en cas d’accident.
Pour le casque, je choisis un intégral avec l’étiquette ECE 22-05. Cela m’assure une protection optimale car il enveloppe toute ma tête.
J’enfile également un blouson, de préférence en cuir. Il réduit le risque de fractures, de lésions, de brulures, de perforations en cas de chute.
Je n’oublie pas mes gants, mes bottes de moto ou mes chaussures montantes, et mon gilet airbag à moto. Ce dernier protège ma cage thoracique, ma colonne vertébrale et mon abdomen si je tombe ou si une voiture me percute.
J’entretiens ma moto
Des pneus usés détériorent ma qualité de freinage. Mes roues ne doivent être ni trop gonflées ni sous-gonflées, sinon je risque de me mettre en danger, ou de mettre quelqu’un d’autre en danger
Je ne suis pas assez visible sur la route, donc je vérifie mon éclairage. Mes feux doivent êtres propres et fonctionnels.
Je vérifie régulièrement l’état des plaquettes et des disques de freins. Mes freins constituent le premier élément de sécurité. Donc je dois m’assurer qu’ils sont en parfait état.
J’emmène chez un professionnel ma moto, pour un entretien. Même si je peux faire les vérifications quotidiennes, il n’y a rien de mieux que la main d’un expert pour assurer une sécurité maximale.
Je suis responsable
Je m’assure que les autres conducteurs m’aient vu sinon, je présume qu’ils ne sont pas conscients de ma présence. J’évite donc de les dépasser, et je réduis ma vitesse. J’utilise toujours mes feux de signalisation, lorsque je double un véhicule, ou avant de changer de direction.
Et enfin, je ne conduis pas lorsque j’ai bu de l’alcool.
